samedi 4 juillet 2015

Pas de nouvelles...

... Bonnes nouvelles, dit l'adage.

C'est en effet un peu le cas. Bon, pourtant, le dernier billet datant du début d'année, je me suis dit que ce serait bien de venir faire les poussières, histoire de voir si il n'y avait pas trop de mites qui avaient pris possession des lieux.

C'est vrai, j'ai pas eu le temps de venir alimenter ce blog depuis plusieurs mois.
Ça veut pas dire que j'ai rien foutu, hein. Non, non, bien au contraire, le truc c'est que je suis un peu toujours en train de courir après le temps.

— Qu'est ce qu'il dit ? Des nouvelles ? Euh...



— Oui, quand même !

Le ptit Barry, comment qu'il va ?
Eh bien plutôt pas mal, ma foi.
J'ai eu l'honneur d'apprendre que l'Héritage de Tarford Castle était sélectionné pour le Masterton 2015.
J'avoue que je suis très flatté de cette nomination qui me fait chaud au cœur.

Ça me prouve surtout deux choses :

1/ Je n'écris peut-être pas que de la merde.
2/ C'est une bonne claque dans la gueule (oui, je suis vulgaire) à tous ceux qui m'ont ri au nez lorsque je leur ai parlé de mon envie d'écrire il y a plusieurs années en arrière (j'ai les noms, oui oui !)

J'ai eu quelques retours sur ma prose (certains sont accessibles sur la page réservée à l'aristo du blog). On m'a demandé plusieurs fois s'il y aurait des suites.
Oui, oui. Je confirme, deux autres ouvrages sont sur les rails (je l'ai déjà dit ailleurs, suffit d'aller rechercher :)).

Ils seront peut-être un peu plus longs à venir parce que d'autres choses sont venues se greffer dans le planning.

— Et c'est quoi qui te retarde ?
— J'y arrive, là, juste en dessous !

Dimension Meurtres Impossibles 

C'est l'anthologie que je co-dirige avec ma douce Sélène et qui paraîtra chez Rivière Blanche (à priori octobre).

On a reçu une 40aine de textes. De très bonnes plumes, d'horizons variés, qui ont, à leur manière, rendu hommage au fameux meurtre en chambre close.

Nous en avons retenu 17. Les choix ont été difficiles tant la qualité était au rendez-vous.

Je ne vous en dit pas plus, on reviendra plus longuement sur ces textes et choix dans la préface dudit livre.


Quand on dirige une anthologie, suffit pas de dire « Ouais, ton texte, c'est trop de la balle en barre, j'le veux, t'es un bon, coco ! Demain le monde est à tes pieds ! P'tain t'assures... »

Ben non. Faut s'occuper des mails d'acceptation, de refus, de coordonner l'envoi des contrats, de récupérer les bio, de préparer une préface et... le GROS morceau, corriger les textes.
J'avoue que c'est Sélène qui va s'occuper de cette partie (en même temps c'est son métier et elle est reconnue pour la qualité de son travail), mais il n'empêche que cela prend du temps.

La Main Sanglante

Thomas Saunier revient. « Enfin ! » scande la foule en délire (ou pas). Mais si.
J'ai relu l'intégralité des 26 chapitres déjà écrits. Je n'ai plus qu'à trouver le temps d'écrire la fin. J'aimerai faire ça assez vite.

— Pourquoi ?
— Pas pourquoi, mais pour qui, mon jeune ami ! Le texte achevé est attendu sur le bureau de plusieurs éditeurs. Non, non, j'ai pas couché. On me l'a demandé. Alors bon, faut vraiment que je termine l'histoire au plus tôt.

Ça fait pas mal.

Le truc c'est que comme les journées font juste 24 heures, il faut trouver le temps de tout conjuguer. Et c'est pas facile.

Mais très vite, je viendrais vous reparler de Barry, de Thomas et des Meurtres.

Promis.

Et, une dernière chose :



Retenez bien cette dernière phrase...

(oui, je tease ^^)

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